Avec ses grands yeux noirs, plantés au fond des miens
Elle m'a pris par le bras, m'a dit "jusqu'à demain"… "jusqu'à demain"
J'ai suivi sans rien dire, elle savait où aller
Dans les ruelles en couleurs, on a tout vu, tout fait
Elle visitait mon cœur, j'ai même pas su son nom
Un taxi, une adresse, j'ai pas posé d'question… pas question
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, tout ou rien
Pas question de chercher plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
Les cloches sonnaient midi, je m'retourne, j'tends la main
Je n’ sens qu'un oreiller, j'embrasse plus qu'un parfum
J'l'avais pas vue venir, j'l’ai pas vue s'en aller
J'ai eu envie de rire, j'y suis pas arrivé… à l'arrivée
Elle m'avait tout volé, pourtant, elle n'a rien pris :
J'aurais p't-être préféré, au moins, j'aurais compris…
La chambre était réglée : on m'l'avait jamais fait
J'ai essayé d'pleurer, j'y suis pas arrivé… Et puis après ?
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, tout ou rien
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
Hasta mañana, y donde mas
Hasta mañana, y nada mas
La chica nunca mira atras
Arrebatando tu pensar
Y tu te quedas con el sol, y nada mas
Repartir au matin, un souvenir en poche
Sans un mot, sans un lien, surtout rien qui s'accroche
Moi aussi, j'ai déjà bien sûr, dû faire comme elle
Arriver pour la nuit, y croire, la trouver belle… la trouver belle
Moi aussi… et pourtant si j'la croisais ce soir
Je saurais empêcher que le jour nous sépare
Et quand j'arpente la nuit les rues décolorées
Je cherche ses yeux noirs dans les ombres pressées… trop pressé
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, et me prend tout pour rien
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
7. Elle Voulait ToutElle m'a pris par le bras, m'a dit "jusqu'à demain"… "jusqu'à demain"
J'ai suivi sans rien dire, elle savait où aller
Dans les ruelles en couleurs, on a tout vu, tout fait
Elle visitait mon cœur, j'ai même pas su son nom
Un taxi, une adresse, j'ai pas posé d'question… pas question
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, tout ou rien
Pas question de chercher plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
Les cloches sonnaient midi, je m'retourne, j'tends la main
Je n’ sens qu'un oreiller, j'embrasse plus qu'un parfum
J'l'avais pas vue venir, j'l’ai pas vue s'en aller
J'ai eu envie de rire, j'y suis pas arrivé… à l'arrivée
Elle m'avait tout volé, pourtant, elle n'a rien pris :
J'aurais p't-être préféré, au moins, j'aurais compris…
La chambre était réglée : on m'l'avait jamais fait
J'ai essayé d'pleurer, j'y suis pas arrivé… Et puis après ?
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, tout ou rien
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
Hasta mañana, y donde mas
Hasta mañana, y nada mas
La chica nunca mira atras
Arrebatando tu pensar
Y tu te quedas con el sol, y nada mas
Repartir au matin, un souvenir en poche
Sans un mot, sans un lien, surtout rien qui s'accroche
Moi aussi, j'ai déjà bien sûr, dû faire comme elle
Arriver pour la nuit, y croire, la trouver belle… la trouver belle
Moi aussi… et pourtant si j'la croisais ce soir
Je saurais empêcher que le jour nous sépare
Et quand j'arpente la nuit les rues décolorées
Je cherche ses yeux noirs dans les ombres pressées… trop pressé
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, et me prend tout pour rien
Elle voulait tout, jusqu'à demain
Elle voulait tout, jusqu'au matin
C'était tout, tout d'suite, comme ça vient
Et pas question d'aller plus loin
Une belle histoire qui passe, on la prend comme elle vient
Il t'a regardé
Puis il m'a souri
Depuis si longtemps
Il n'avait rien dit
Y'avait presque un siècle
Qui vous séparait
Le long de sa joue
Une larme coulait
Il t'a pris au bout de ses bras
Dans un éclat de rire
Toi, bébé, tu as pris son doigt
Comme pour le retenir
Puis il t'a parlé
De cette vie passée
Et il t'a raconté
La tienne qui commençait
Toutes tes colères
Toutes tes peines, tes joies
Tes plus belles guerres
Celles que l'on ne gagne pas
Et puis ses yeux se sont posés
Doucement sur chacun
Et chacun de nous y lisait
Quelques mots pour demain
Vivre pour pouvoir revivre
C'est là ton seul devoir
Celui de dire pour rester libre
Celui de ta mémoire
Ses yeux chantaient merci, merci
J'ai plus peur de partir
Et puis vient Céline
Celle qu'il aimait tant
Elle n'aimait que lui
Depuis soixante-deux ans
Il la regardait
Pas besoin de mots
Ses yeux lui disaient
Ne tarde pas trop
8. EliePuis il m'a souri
Depuis si longtemps
Il n'avait rien dit
Y'avait presque un siècle
Qui vous séparait
Le long de sa joue
Une larme coulait
Il t'a pris au bout de ses bras
Dans un éclat de rire
Toi, bébé, tu as pris son doigt
Comme pour le retenir
Puis il t'a parlé
De cette vie passée
Et il t'a raconté
La tienne qui commençait
Toutes tes colères
Toutes tes peines, tes joies
Tes plus belles guerres
Celles que l'on ne gagne pas
Et puis ses yeux se sont posés
Doucement sur chacun
Et chacun de nous y lisait
Quelques mots pour demain
Vivre pour pouvoir revivre
C'est là ton seul devoir
Celui de dire pour rester libre
Celui de ta mémoire
Ses yeux chantaient merci, merci
J'ai plus peur de partir
Et puis vient Céline
Celle qu'il aimait tant
Elle n'aimait que lui
Depuis soixante-deux ans
Il la regardait
Pas besoin de mots
Ses yeux lui disaient
Ne tarde pas trop
Dignes, belles
Elles tournent sur elles-mêmes
Les rides creusées,
Les larmes n'ont pas séché
Elles dansent sans bruit
Leurs enfants disparus
Disparus dans la nuit
Leurs enfants perdus
Sur les terres de Piazzolla
Muets sont les poètes
A moins de parler bas
Mais, dans le clair-obscur
A l'heure de tous les rêves
Soudain une voix s'élève
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar
Folles, elles dansent
Elles ont vaincu l'oubli
Elles savent la force
Qui jamais ne les trahit
L'histoire est lente
Mais elles la font tourner
Ce soir elles chantent
Les diables sont jugés
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
El viento siempre acaba por cambiar
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar
9. Nunca MasElles tournent sur elles-mêmes
Les rides creusées,
Les larmes n'ont pas séché
Elles dansent sans bruit
Leurs enfants disparus
Disparus dans la nuit
Leurs enfants perdus
Sur les terres de Piazzolla
Muets sont les poètes
A moins de parler bas
Mais, dans le clair-obscur
A l'heure de tous les rêves
Soudain une voix s'élève
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar
Folles, elles dansent
Elles ont vaincu l'oubli
Elles savent la force
Qui jamais ne les trahit
L'histoire est lente
Mais elles la font tourner
Ce soir elles chantent
Les diables sont jugés
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
El viento siempre acaba por cambiar
Nunca mas
Nunca dormir, y nunca dejar olvidar
Bailar al viento que los desaparecio
La sangre nunca acaba de gritar
El viento siempre acaba por cambiar
Tes souvenirs se voilent
Ca fait comme une éclipse
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Le vent de l'éventail
De ton grand père assis
Au Café des Délices
Tes souvenirs se voilent
Tu vois passer le tram
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil yalil
Tes souvenirs se voilent
Tu la revois la fille
Le baiser qui fait mal
A Port El Kantaoui
Les premiers mots d'amour
Sur des chansons velours
Habibi Habibi
Tes souvenirs se voilent
Tu les aimais ces fruits
Les noyaux d'abricot
Pour toi, c'étaient des billes
Et les soirées de fête
Qu'on faisait dans nos têtes
Aux plages d'Hammamet
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Tes souvenirs se voilent
A l'avant du bateau
Et ce quai qui s'éloigne
Vers un monde nouveau
Une vie qui s'arrête
Pour un jour qui commence
C'est peut-être une chance
Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil ces parfums d'autrefois
Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil même si tu t'en vas
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices
Choeurs
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Au Café des Délices
Au Café des Délices
10. Au Café Des DélicesCa fait comme une éclipse
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Le vent de l'éventail
De ton grand père assis
Au Café des Délices
Tes souvenirs se voilent
Tu vois passer le tram
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil yalil
Tes souvenirs se voilent
Tu la revois la fille
Le baiser qui fait mal
A Port El Kantaoui
Les premiers mots d'amour
Sur des chansons velours
Habibi Habibi
Tes souvenirs se voilent
Tu les aimais ces fruits
Les noyaux d'abricot
Pour toi, c'étaient des billes
Et les soirées de fête
Qu'on faisait dans nos têtes
Aux plages d'Hammamet
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Tes souvenirs se voilent
A l'avant du bateau
Et ce quai qui s'éloigne
Vers un monde nouveau
Une vie qui s'arrête
Pour un jour qui commence
C'est peut-être une chance
Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil ces parfums d'autrefois
Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil même si tu t'en vas
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices
Choeurs
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Yalil yalil habibi yalil yalil yalil habibi yalil
Au Café des Délices
Au Café des Délices
Un… Ca commence comme un rêve
Un premier rire, un rien
Ton regard qui se lève
Deux… On est déjà plus forts
A quatre mains, bien sûr
On joue d'autres accords
Trois… Entre nous deux, tu glisses
Un berceau plein de lune
Une envie qui hésite
Quatre… La valse irrégulière
On cherche la mesure
Pour un temps on s'y perd
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, d'en bas
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
On tombe ou on avance d'un pas… On y va
Cinq… Sur toi la main posée
Te protège et m'invite
A ne pas trop douter
Six… Semaines sans te voir
Première déchirure
Faut-il toujours savoir
Sept… Vies à vivre ensemble
Est-ce qu'on joue assez juste
Pour qu'elles nous ressemblent
Huit… En haut de cette échelle
C'est écrit à la craie
Huit lettres pour jeu t'aime
Mais au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
Et surtout pas r'garder en bas… surtout pas
Bien sûr on sait qu'un jour, la pluie pourrait tomber
Mais la pluie c'est peu dire, alors on s'est r'gardés
Un rayon de soleil se pointe au coin d'la rue
Un fou rire, un éclair, alors on continue
Neuf… Mois pour lui choisir
Un prénom, un ou une
Neuf mois pour devenir…
Une… Autre vie, d'autres mots
Pour quelques boucles brunes
Tout repart à zéro
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
A trois on r'gard'ra pas en bas… Surtout pas
Au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
On tombe ou on avance d'un pas… On y va… Un deux trois…
11. Au Bout De La MarelleUn premier rire, un rien
Ton regard qui se lève
Deux… On est déjà plus forts
A quatre mains, bien sûr
On joue d'autres accords
Trois… Entre nous deux, tu glisses
Un berceau plein de lune
Une envie qui hésite
Quatre… La valse irrégulière
On cherche la mesure
Pour un temps on s'y perd
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, d'en bas
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
On tombe ou on avance d'un pas… On y va
Cinq… Sur toi la main posée
Te protège et m'invite
A ne pas trop douter
Six… Semaines sans te voir
Première déchirure
Faut-il toujours savoir
Sept… Vies à vivre ensemble
Est-ce qu'on joue assez juste
Pour qu'elles nous ressemblent
Huit… En haut de cette échelle
C'est écrit à la craie
Huit lettres pour jeu t'aime
Mais au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
Et surtout pas r'garder en bas… surtout pas
Bien sûr on sait qu'un jour, la pluie pourrait tomber
Mais la pluie c'est peu dire, alors on s'est r'gardés
Un rayon de soleil se pointe au coin d'la rue
Un fou rire, un éclair, alors on continue
Neuf… Mois pour lui choisir
Un prénom, un ou une
Neuf mois pour devenir…
Une… Autre vie, d'autres mots
Pour quelques boucles brunes
Tout repart à zéro
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
A trois on r'gard'ra pas en bas… Surtout pas
Au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
On tombe ou on avance d'un pas… On y va… Un deux trois…
Un… Ca commence comme un rêve
Un premier rire, un rien
Ton regard qui se lève
Deux… On est déjà plus forts
A quatre mains, bien sûr
On joue d'autres accords
Trois… Entre nous deux, tu glisses
Un berceau plein de lune
Une envie qui hésite
Quatre… La valse irrégulière
On cherche la mesure
Pour un temps on s'y perd
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, d'en bas
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
On tombe ou on avance d'un pas… On y va
Cinq… Sur toi la main posée
Te protège et m'invite
A ne pas trop douter
Six… Semaines sans te voir
Première déchirure
Faut-il toujours savoir
Sept… Vies à vivre ensemble
Est-ce qu'on joue assez juste
Pour qu'elles nous ressemblent
Huit… En haut de cette échelle
C'est écrit à la craie
Huit lettres pour jeu t'aime
Mais au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
Et surtout pas r'garder en bas… surtout pas
Bien sûr on sait qu'un jour, la pluie pourrait tomber
Mais la pluie c'est peu dire, alors on s'est r'gardés
Un rayon de soleil se pointe au coin d'la rue
Un fou rire, un éclair, alors on continue
Neuf… Mois pour lui choisir
Un prénom, un ou une
Neuf mois pour devenir…
Une… Autre vie, d'autres mots
Pour quelques boucles brunes
Tout repart à zéro
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
A trois on r'gard'ra pas en bas… Surtout pas
Au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
On tombe ou on avance d'un pas… On y va… Un deux trois…
12. Une Chanson Qui Sert A rienUn premier rire, un rien
Ton regard qui se lève
Deux… On est déjà plus forts
A quatre mains, bien sûr
On joue d'autres accords
Trois… Entre nous deux, tu glisses
Un berceau plein de lune
Une envie qui hésite
Quatre… La valse irrégulière
On cherche la mesure
Pour un temps on s'y perd
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, d'en bas
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
On tombe ou on avance d'un pas… On y va
Cinq… Sur toi la main posée
Te protège et m'invite
A ne pas trop douter
Six… Semaines sans te voir
Première déchirure
Faut-il toujours savoir
Sept… Vies à vivre ensemble
Est-ce qu'on joue assez juste
Pour qu'elles nous ressemblent
Huit… En haut de cette échelle
C'est écrit à la craie
Huit lettres pour jeu t'aime
Mais au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, toi et moi
Et surtout pas r'garder en bas… surtout pas
Bien sûr on sait qu'un jour, la pluie pourrait tomber
Mais la pluie c'est peu dire, alors on s'est r'gardés
Un rayon de soleil se pointe au coin d'la rue
Un fou rire, un éclair, alors on continue
Neuf… Mois pour lui choisir
Un prénom, un ou une
Neuf mois pour devenir…
Une… Autre vie, d'autres mots
Pour quelques boucles brunes
Tout repart à zéro
Mais au bout de la marelle
On sait pas c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle, comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
A trois on r'gard'ra pas en bas… Surtout pas
Au bout de la marelle
On verra c'qu'on verra
Elle nous paraît si belle comme ça
A cloche-pied vers le ciel
A pieds joints, on y va
On tombe ou on avance d'un pas… On y va… Un deux trois…
