Les enfants me regardent ne disent rien...on t'attendra...
On t'attendra...
Où es-tu
M'entends-tu
Où es-tu
M'entends-tu
Tu me dis que certains soirs tu t'endors en pleurant
Que les fenêtres du monde se ferment sur toi en chuchotant
Je te dis qu'il faut tenir que tous ici suivent ton histoire
Je m'accroche à ces sourires qui passent sur moi dans les couloirs
Je te vois courir sur le tarmac demain peut-être
Je t'entends venir je te serre déjà dans mes rêves
2. Où es-tuOn t'attendra...
Où es-tu
M'entends-tu
Où es-tu
M'entends-tu
Tu me dis que certains soirs tu t'endors en pleurant
Que les fenêtres du monde se ferment sur toi en chuchotant
Je te dis qu'il faut tenir que tous ici suivent ton histoire
Je m'accroche à ces sourires qui passent sur moi dans les couloirs
Je te vois courir sur le tarmac demain peut-être
Je t'entends venir je te serre déjà dans mes rêves
Je rêve de saisons
A l’ombre des platanes,
Où le cœur va et flâne
A perdre la raison
Et où s’immobilisent
Les tempêtes, les tracas,
La peine, les caprices
Comme un sirop d’orgeat.
Car du temps des cerises,
Où tu n’aimais que moi
Et qui s’enfuit déjà,
Les cigales s’en foutent,
Les cigales s’en foutent.
Oui, du temps des cerises
Où j’étais tout à toi,
Les cigales au mois d’août,
Ne se souviennent pas,
Ne se souviennent pas,
Les cigales s’en foutent.
Je rêve de veillées
Aux heures vagabondes,
Et où l’orage gronde
Sans jamais inquiéter,
Où dans la pesanteur
Des slows longs de l’été
Sans sanglot, sans pudeur
Je saurai t’oublier.
Car du temps des cerises,
Où tu n’aimais que moi
Et qui s’enfuit déjà,
Les cigales s’en foutent,
Les cigales s’en foutent.
Oui, du temps des cerises
Où j’étais tout à toi,
Les cigales au mois d’août,
Ne se souviennent pas,
Ne se souviennent pas,
Les cigales s’en foutent.
Je rêve d’un été
Au soleil si violent
Que même le passé
Danserait nonchalamment,
Et dans les sables d’or,
Comme un dernier serment,
J’enfouirai nos remords,
Et viendrait l’océan.
Car du temps des cerises,
Où tu n’aimais que moi
Et qui s’enfuit déjà,
Les cigales s’en foutent,
Les cigales s’en foutent.
Oui, du temps des cerises
Où tu étais toute à moi,
Les cigales au mois d’août,
Ne se souviennent pas,
Ne se souviennent pas,
Les cigales s’en foutent.
3. Les cigales s’en foutentA l’ombre des platanes,
Où le cœur va et flâne
A perdre la raison
Et où s’immobilisent
Les tempêtes, les tracas,
La peine, les caprices
Comme un sirop d’orgeat.
Car du temps des cerises,
Où tu n’aimais que moi
Et qui s’enfuit déjà,
Les cigales s’en foutent,
Les cigales s’en foutent.
Oui, du temps des cerises
Où j’étais tout à toi,
Les cigales au mois d’août,
Ne se souviennent pas,
Ne se souviennent pas,
Les cigales s’en foutent.
Je rêve de veillées
Aux heures vagabondes,
Et où l’orage gronde
Sans jamais inquiéter,
Où dans la pesanteur
Des slows longs de l’été
Sans sanglot, sans pudeur
Je saurai t’oublier.
Car du temps des cerises,
Où tu n’aimais que moi
Et qui s’enfuit déjà,
Les cigales s’en foutent,
Les cigales s’en foutent.
Oui, du temps des cerises
Où j’étais tout à toi,
Les cigales au mois d’août,
Ne se souviennent pas,
Ne se souviennent pas,
Les cigales s’en foutent.
Je rêve d’un été
Au soleil si violent
Que même le passé
Danserait nonchalamment,
Et dans les sables d’or,
Comme un dernier serment,
J’enfouirai nos remords,
Et viendrait l’océan.
Car du temps des cerises,
Où tu n’aimais que moi
Et qui s’enfuit déjà,
Les cigales s’en foutent,
Les cigales s’en foutent.
Oui, du temps des cerises
Où tu étais toute à moi,
Les cigales au mois d’août,
Ne se souviennent pas,
Ne se souviennent pas,
Les cigales s’en foutent.
Un concert des Stones
17 ans à peine
Une salle à Brighton
La folie sur scène
Des yeux me sourient
Je m'fraye un chemin
Au milieu d'Angie
Elle me prend la main
On se regarde longtemps
La foule l'emporte loin devant... dans le vent
She's gone, she's gone
Je n' sais rien de celle qui m'étonne
Juste un sourire un tee-shirt marqué Come on Come on
She's gone, she's gone
Je la cherche partout plus personne
Juste un baiser qui me revient chaque automne
South Kensington 18 ans plus tard
Nos regards se croisent son bus qui démarre
Je cours comme un dingue mon cœur qui explose
Elle n'est pas toute seule elle dit quelque chose
Elle me regarde longtemps
Le bus s'éloigne loin devant jusqu'à quand
She's gone, she's gone
I feel alone in London
Et pourtant sur ses lèvres j'ai bien lu come on...! Come on...!
She's gone, she's gone
Y'a si longtemps ça m'étonne
Quand soudain derrière moi une voix ...je frissonne ...COME ON..!
On a marché longtemps
On s'est aimés et pourtant
Il fallait se quitter ce matin d'automne come on
J'ai repris tout seul ma route de Madison...
I'm gone, she's gone
4 août 2012
Olympic Stadium
En face une banderole
Juste écrit ...COME ON..!
4. She’s gone17 ans à peine
Une salle à Brighton
La folie sur scène
Des yeux me sourient
Je m'fraye un chemin
Au milieu d'Angie
Elle me prend la main
On se regarde longtemps
La foule l'emporte loin devant... dans le vent
She's gone, she's gone
Je n' sais rien de celle qui m'étonne
Juste un sourire un tee-shirt marqué Come on Come on
She's gone, she's gone
Je la cherche partout plus personne
Juste un baiser qui me revient chaque automne
South Kensington 18 ans plus tard
Nos regards se croisent son bus qui démarre
Je cours comme un dingue mon cœur qui explose
Elle n'est pas toute seule elle dit quelque chose
Elle me regarde longtemps
Le bus s'éloigne loin devant jusqu'à quand
She's gone, she's gone
I feel alone in London
Et pourtant sur ses lèvres j'ai bien lu come on...! Come on...!
She's gone, she's gone
Y'a si longtemps ça m'étonne
Quand soudain derrière moi une voix ...je frissonne ...COME ON..!
On a marché longtemps
On s'est aimés et pourtant
Il fallait se quitter ce matin d'automne come on
J'ai repris tout seul ma route de Madison...
I'm gone, she's gone
4 août 2012
Olympic Stadium
En face une banderole
Juste écrit ...COME ON..!
Un concert des Stones
17 ans à peine
Une salle à Brighton
La folie sur scène
Des yeux me sourient
Je m'fraye un chemin
Au milieu d'Angie
Elle me prend la main
On se regarde longtemps
La foule l'emporte loin devant... dans le vent
She's gone, she's gone
Je n' sais rien de celle qui m'étonne
Juste un sourire un tee-shirt marqué Come on Come on
She's gone, she's gone
Je la cherche partout plus personne
Juste un baiser qui me revient chaque automne
South Kensington 18 ans plus tard
Nos regards se croisent son bus qui démarre
Je cours comme un dingue mon cœur qui explose
Elle n'est pas toute seule elle dit quelque chose
Elle me regarde longtemps
Le bus s'éloigne loin devant jusqu'à quand
She's gone, she's gone
I feel alone in London
Et pourtant sur ses lèvres j'ai bien lu come on...! Come on...!
She's gone, she's gone
Y'a si longtemps ça m'étonne
Quand soudain derrière moi une voix ...je frissonne ...COME ON..!
On a marché longtemps
On s'est aimés et pourtant
Il fallait se quitter ce matin d'automne come on
J'ai repris tout seul ma route de Madison...
I'm gone, she's gone
4 août 2012
Olympic Stadium
En face une banderole
Juste écrit ...COME ON..!
5. Maux d’enfants (feat. La Fouine)17 ans à peine
Une salle à Brighton
La folie sur scène
Des yeux me sourient
Je m'fraye un chemin
Au milieu d'Angie
Elle me prend la main
On se regarde longtemps
La foule l'emporte loin devant... dans le vent
She's gone, she's gone
Je n' sais rien de celle qui m'étonne
Juste un sourire un tee-shirt marqué Come on Come on
She's gone, she's gone
Je la cherche partout plus personne
Juste un baiser qui me revient chaque automne
South Kensington 18 ans plus tard
Nos regards se croisent son bus qui démarre
Je cours comme un dingue mon cœur qui explose
Elle n'est pas toute seule elle dit quelque chose
Elle me regarde longtemps
Le bus s'éloigne loin devant jusqu'à quand
She's gone, she's gone
I feel alone in London
Et pourtant sur ses lèvres j'ai bien lu come on...! Come on...!
She's gone, she's gone
Y'a si longtemps ça m'étonne
Quand soudain derrière moi une voix ...je frissonne ...COME ON..!
On a marché longtemps
On s'est aimés et pourtant
Il fallait se quitter ce matin d'automne come on
J'ai repris tout seul ma route de Madison...
I'm gone, she's gone
4 août 2012
Olympic Stadium
En face une banderole
Juste écrit ...COME ON..!
Lequel de toi, lequel de moi aura eu tort
Lequel de nous dira j'y crois encore
Lequel saura lire les silences dans d’autres yeux
Lequel ira tenter sa chance à d'autres jeux
Lequel de moi, lequel de toi dira d’abord
Que ça vaut peu, que ça vaut plus, qu’on s’aime encore
Lequel passera du côté noir du côté froid
Du côté où l’un de nous deux ne sera pas
Tu pourras dire n'importe quoi
Puisque l’amour c’est fou
On n'paie jamais ce que l’on doit
En marchant à genoux
Tu pourras dire n’importe quoi
Puisque l’amour c’est tout
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout
Lequel de toi, lequel de moi aura l’envie
De tout laisser de tout quitter comme si
Il y avait toujours mieux ailleurs un autre monde meilleur
Une autre vie où tu ne seras pas aussi
Lequel de toi lequel de moi aura l'audace
De voir en l'autre tout le contraire d'une menace
Accepter même les erreurs revenir en arrière
Ces différences qui nous font peur jusqu'à tout foutre en l'air
Tu pourras dire n'importe quoi
Puisque l’amour c’est fou
On n'paie jamais ce que l’on doit paie
En marchant à genoux
Tu pourras dire n’importe quoi
Puisque l’amour c’est tout
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout
Lequel de toi, lequel de moi dira je t’aime
Sans rien en échange, rien qui dérange, comme un poème
Un mot d’amour dans les orages de toute une vie à deux
Un mot qui change les sauvages en amoureux
Tu pourras dire ce que tu veux
Sur tout c'qui nous éloigne
Tu sais très bien qu'à ce jeu
Jamais personne ne gagne
Cette histoire aucun de nous deux
Ne pourra l'effacer
Ce qu'il y a au fond de nos yeux
Ne s'oubliera jamais
Tu pourras dire n'importe quoi
Des cris ou des menaces
Il n'y aura que toi et moi
Pour sortir de l'impasse
Et retrouver dans un sourire
Ou une main tendue
Tous les mots qu'on aurait pu dire
Si on l'avait voulu
Tu pourras dire n'importe quoi
Puisque l’amour c’est fou
On n’ paie jamais ce que l’on doit
En marchant à genoux
Et même écrire n’importe quoi
Puisque l’amour c’est tout
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout
Tu pourras dire…
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout.
6. Lequel de nousLequel de nous dira j'y crois encore
Lequel saura lire les silences dans d’autres yeux
Lequel ira tenter sa chance à d'autres jeux
Lequel de moi, lequel de toi dira d’abord
Que ça vaut peu, que ça vaut plus, qu’on s’aime encore
Lequel passera du côté noir du côté froid
Du côté où l’un de nous deux ne sera pas
Tu pourras dire n'importe quoi
Puisque l’amour c’est fou
On n'paie jamais ce que l’on doit
En marchant à genoux
Tu pourras dire n’importe quoi
Puisque l’amour c’est tout
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout
Lequel de toi, lequel de moi aura l’envie
De tout laisser de tout quitter comme si
Il y avait toujours mieux ailleurs un autre monde meilleur
Une autre vie où tu ne seras pas aussi
Lequel de toi lequel de moi aura l'audace
De voir en l'autre tout le contraire d'une menace
Accepter même les erreurs revenir en arrière
Ces différences qui nous font peur jusqu'à tout foutre en l'air
Tu pourras dire n'importe quoi
Puisque l’amour c’est fou
On n'paie jamais ce que l’on doit paie
En marchant à genoux
Tu pourras dire n’importe quoi
Puisque l’amour c’est tout
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout
Lequel de toi, lequel de moi dira je t’aime
Sans rien en échange, rien qui dérange, comme un poème
Un mot d’amour dans les orages de toute une vie à deux
Un mot qui change les sauvages en amoureux
Tu pourras dire ce que tu veux
Sur tout c'qui nous éloigne
Tu sais très bien qu'à ce jeu
Jamais personne ne gagne
Cette histoire aucun de nous deux
Ne pourra l'effacer
Ce qu'il y a au fond de nos yeux
Ne s'oubliera jamais
Tu pourras dire n'importe quoi
Des cris ou des menaces
Il n'y aura que toi et moi
Pour sortir de l'impasse
Et retrouver dans un sourire
Ou une main tendue
Tous les mots qu'on aurait pu dire
Si on l'avait voulu
Tu pourras dire n'importe quoi
Puisque l’amour c’est fou
On n’ paie jamais ce que l’on doit
En marchant à genoux
Et même écrire n’importe quoi
Puisque l’amour c’est tout
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout
Tu pourras dire…
Ce qu’il reste entre toi et moi
Ca nous suivra partout.
New York City
L'aube trempée de pluie
Dans mon taxi
Des news pas jolies
Tout change si vite
Le jour se lève
Sur nos illusions
Un drôle de rêve
Où est ma raison
Tout change si vite
Dis-moi pourquoi
Je tourne comme ça
Autour de tout
Autour de moi
Tout change si vite
Je sais qu'au fond, tu ne dors pas
Qu'une larme coule, qu'elle est pour moi
Alors dis-moi, dis-moi pourquoi
On s'aime si mal
Pourquoi les mots s'enferment en moi
Pourquoi toutes mes guerres n'éclatent pas
Dis-moi pourquoi je cache comme ça mon feu et mes joies
Tout change si vite
Je pars d’ici
Le coeur trempé de nuit
Moi dans ce taxi
Toi dans ce grand lit
On s'est menti
Tu te souviens, 6th Broadway
Cette musique que l'on chantait
Et ce sourire, et ce baiser
Ce vent glacé
Et puis ta main, sur mon visage
Et puis je t'emmène en voyage
Et puis le vin, et puis ton rire, et puis plus rien
Tout change si vite
Encore ce rêve
Une autre insomnie
On s’est menti
Toutes ces voix, qui se mélangent
Qui parlent ensemble ce n'est que moi
Cherche moi par là...
Tout change si vite
7. Tout change si viteL'aube trempée de pluie
Dans mon taxi
Des news pas jolies
Tout change si vite
Le jour se lève
Sur nos illusions
Un drôle de rêve
Où est ma raison
Tout change si vite
Dis-moi pourquoi
Je tourne comme ça
Autour de tout
Autour de moi
Tout change si vite
Je sais qu'au fond, tu ne dors pas
Qu'une larme coule, qu'elle est pour moi
Alors dis-moi, dis-moi pourquoi
On s'aime si mal
Pourquoi les mots s'enferment en moi
Pourquoi toutes mes guerres n'éclatent pas
Dis-moi pourquoi je cache comme ça mon feu et mes joies
Tout change si vite
Je pars d’ici
Le coeur trempé de nuit
Moi dans ce taxi
Toi dans ce grand lit
On s'est menti
Tu te souviens, 6th Broadway
Cette musique que l'on chantait
Et ce sourire, et ce baiser
Ce vent glacé
Et puis ta main, sur mon visage
Et puis je t'emmène en voyage
Et puis le vin, et puis ton rire, et puis plus rien
Tout change si vite
Encore ce rêve
Une autre insomnie
On s’est menti
Toutes ces voix, qui se mélangent
Qui parlent ensemble ce n'est que moi
Cherche moi par là...
Tout change si vite
Ton chariot renversé
Des oranges éclatées
Leur jus a la couleur
Du sang et de la peur
Toi vendeur ambulant
Tu as secoué le temps
En allant jusqu’au bout
Ils héritent du tout
Des regards qui se lèvent
Un monde qui s’achève
Ils puisent leur courage
Dans les coups, les outrages
Les années à se taire
Les larmes de leurs pères
Ces larmes de jasmin
Qui portent leur destin
Dans l’histoire de leur terre
Le plus beau reste à faire
Ils ont marché, ils ont chanté
Les larmes de leurs pères
Ils ont pleuré, ils ont armé
Leur destin de lumière…de lumière
Elles ont risqué ici
Leurs libertés fragiles
Elles jouent à quitte ou double
Lorsque les temps se troublent
Elles écrivent et elles signent
Elles sont en première ligne
Mais le moment est là
Elles n’hésiteront pas
Leurs chants sont libérés
Qui peut les effacer ?
La fierté de leurs mères
Leur a dit « va, espère
Bats-toi pour être toi
Je t’ai montré la voie
Jazya vit encore
Quand tu changes le sort
Le monde te regarde
Tu seras l’avant-garde »
Elles ont marché, elles ont crié
Les larmes de leurs pères
Yékhi mchéwou
Ou zédou bkéwou
âla dmouaâ waldihom
D’Hammamet à Tunis
De Sousse à Monastir
De Bizerte à Tozeur
Au-delà des frontières
Du Caire à Tripoli
D’Oran jusqu’en Syrie
Un souffle dans le vent
A semé le printemps
Quoi qu’en dise le temps
Quoi qu’en dise le temps
Il est là à présent.
8. Les larmes de leurs pèresDes oranges éclatées
Leur jus a la couleur
Du sang et de la peur
Toi vendeur ambulant
Tu as secoué le temps
En allant jusqu’au bout
Ils héritent du tout
Des regards qui se lèvent
Un monde qui s’achève
Ils puisent leur courage
Dans les coups, les outrages
Les années à se taire
Les larmes de leurs pères
Ces larmes de jasmin
Qui portent leur destin
Dans l’histoire de leur terre
Le plus beau reste à faire
Ils ont marché, ils ont chanté
Les larmes de leurs pères
Ils ont pleuré, ils ont armé
Leur destin de lumière…de lumière
Elles ont risqué ici
Leurs libertés fragiles
Elles jouent à quitte ou double
Lorsque les temps se troublent
Elles écrivent et elles signent
Elles sont en première ligne
Mais le moment est là
Elles n’hésiteront pas
Leurs chants sont libérés
Qui peut les effacer ?
La fierté de leurs mères
Leur a dit « va, espère
Bats-toi pour être toi
Je t’ai montré la voie
Jazya vit encore
Quand tu changes le sort
Le monde te regarde
Tu seras l’avant-garde »
Elles ont marché, elles ont crié
Les larmes de leurs pères
Yékhi mchéwou
Ou zédou bkéwou
âla dmouaâ waldihom
D’Hammamet à Tunis
De Sousse à Monastir
De Bizerte à Tozeur
Au-delà des frontières
Du Caire à Tripoli
D’Oran jusqu’en Syrie
Un souffle dans le vent
A semé le printemps
Quoi qu’en dise le temps
Quoi qu’en dise le temps
Il est là à présent.
Les films de Godard...c'est d'la musique et des miroirs
Dans ceux de Renoir c'est des pique-niques et des fanfares
Moi ma belle histoire elle s'arrête ce soir
On peut pas faire mieux
Se quitter quand il pleut
Je voulais juste m'allonger un moment contre toi
Écouter la pluie et le vent qui pleurent dans tes bras
La mélancolie vient chanter tout bas
L’amour qui s'en va... on en fait quoi
Viens tout contre moi
Ne me dis rien, je n'entends pas
Ne me dis pas c'que s'ra demain
Ne me dis rien
On s'est bien aimés, on s'est même fait quelques promesses
Mais fallait pas chercher l'amour à d'autres adresses
Et puis nous voilà... Pas mieux que les autres
Le nez par terre ... La belle affaire
Viens tout contre moi
Ne me dis rien, je n'entends pas
Ne me dis pas c'que s'ra demain
Ne me dis rien
On est là comme deux idiots à trier nos souvenirs
A partager des photos entre larmes et fous rires
Tu gardes le tandem... Et moi Penny Lane
Qu’est-ce qu’on fait du reste
Viens tout contre moi
Ne me dis rien, je n'entends pas
Ce souffle froid
Qui nous murmure
Ce qu'on devient
Tout contre moi
Dis-moi tout bas
Qu'on s'aimera
Encore une fois
Ecoute le vent qui chante
Le bruit des feuilles qui tremblent
Et n'aie pas peur de c'qu'on devient
On s'est aimés souvent trop mal, souvent trop loin
Mais c'était bien quand on dansait tu sais
On va pleurer, je sais
Mais on saura qu'on s'est aimés
9. Viens tout contre moiDans ceux de Renoir c'est des pique-niques et des fanfares
Moi ma belle histoire elle s'arrête ce soir
On peut pas faire mieux
Se quitter quand il pleut
Je voulais juste m'allonger un moment contre toi
Écouter la pluie et le vent qui pleurent dans tes bras
La mélancolie vient chanter tout bas
L’amour qui s'en va... on en fait quoi
Viens tout contre moi
Ne me dis rien, je n'entends pas
Ne me dis pas c'que s'ra demain
Ne me dis rien
On s'est bien aimés, on s'est même fait quelques promesses
Mais fallait pas chercher l'amour à d'autres adresses
Et puis nous voilà... Pas mieux que les autres
Le nez par terre ... La belle affaire
Viens tout contre moi
Ne me dis rien, je n'entends pas
Ne me dis pas c'que s'ra demain
Ne me dis rien
On est là comme deux idiots à trier nos souvenirs
A partager des photos entre larmes et fous rires
Tu gardes le tandem... Et moi Penny Lane
Qu’est-ce qu’on fait du reste
Viens tout contre moi
Ne me dis rien, je n'entends pas
Ce souffle froid
Qui nous murmure
Ce qu'on devient
Tout contre moi
Dis-moi tout bas
Qu'on s'aimera
Encore une fois
Ecoute le vent qui chante
Le bruit des feuilles qui tremblent
Et n'aie pas peur de c'qu'on devient
On s'est aimés souvent trop mal, souvent trop loin
Mais c'était bien quand on dansait tu sais
On va pleurer, je sais
Mais on saura qu'on s'est aimés
La porte se ferme
Déjà la clef résonne
Je suis là nu comme une pierre
Et j’ai laissé toute ma vie d’homme
Dans une petite boîte au vestiaire
Au fond de mes poches
Y’a pas que des cadeaux
J’ai peut-être pas eu les bons grands frères
Et j’ai suivi ceux qui parlaient trop
J’ai pris cinq ans à me taire
Dis-lui de pas grandir trop vite
Que je serai là pour la suite
Et bien plus cette fois
Dis-lui de garder dans les yeux
Ce bel éclat de feu
Dans lequel je te vois
Où est-ce que tu vas
Pour chasser les silences
Que j’ai laissés entre tes mains
Ici tu sais tu es mon innocence
Mon seul ticket vers demain
Dis-lui aussi
Pardon pour le cinéma
J’ai raté la séance
On ira voir le numéro 3
J’y serai même en avance
Dis-lui de pas grandir trop vite
Que je serai là pour la suite
Pour toujours cette fois
Dis-lui de garder bien ouverts
Les yeux clairs de sa mère
Dis-lui toi ce qu’il faut faire
Est-ce que j’ai le droit
De te dire tout ca
Quand le parloir s’éteint
Ici tu sais tout perd son innocence
Quand tu t’en vas vers demain
10. Je serai là pour la suiteDéjà la clef résonne
Je suis là nu comme une pierre
Et j’ai laissé toute ma vie d’homme
Dans une petite boîte au vestiaire
Au fond de mes poches
Y’a pas que des cadeaux
J’ai peut-être pas eu les bons grands frères
Et j’ai suivi ceux qui parlaient trop
J’ai pris cinq ans à me taire
Dis-lui de pas grandir trop vite
Que je serai là pour la suite
Et bien plus cette fois
Dis-lui de garder dans les yeux
Ce bel éclat de feu
Dans lequel je te vois
Où est-ce que tu vas
Pour chasser les silences
Que j’ai laissés entre tes mains
Ici tu sais tu es mon innocence
Mon seul ticket vers demain
Dis-lui aussi
Pardon pour le cinéma
J’ai raté la séance
On ira voir le numéro 3
J’y serai même en avance
Dis-lui de pas grandir trop vite
Que je serai là pour la suite
Pour toujours cette fois
Dis-lui de garder bien ouverts
Les yeux clairs de sa mère
Dis-lui toi ce qu’il faut faire
Est-ce que j’ai le droit
De te dire tout ca
Quand le parloir s’éteint
Ici tu sais tout perd son innocence
Quand tu t’en vas vers demain
Tu pars à Rome avec un homme sans moi
Tu pars à Rome pourquoi en somme pourquoi
Tu dis t'es fou, pourquoi j'suis fou, dis moi
Ce rendez-vous il est pas avec moi
Hier encore j'avais le choix du roi
Changement d'décor un autre fait la loi
Je n'ai rien vu rien entendu tu vois
Du coup je tremble, mon coeur ne me ment pas
Même s'il a pu me tromper quelques fois
Lui se souvient très bien que c'est là-bas
Que j'ai pris ta main pour la première fois
Alors mon cœur vient me chanter tout bas
Écoute moi je sais pour toi
Ce que le monde ne te dit pas
Écoute moi je sais pourquoi
Ce soir je n'bats qu'une fois sur trois
Alors que faire lorsque perdu comme moi
On parle tout seul ou aux oiseaux du bois
Il faut chercher une idée digne d'un roi
Rien d'tel qu'un pape pour retrouver la voie
Me voilà sur les terres de la strada
A chercher le chemin qui mène à toi
Pas une adresse juste un resto je crois
Merci seigneur un coup d'pot je te vois
Bien déguisé en serveur trattoria
Rien d'tel qu'une pasta pour retrouver la foi
Et même si j'pense qu'on l'boira pas à trois
Qu'un brunello pour retrouver ma voix
Écoute moi je sais pour toi
Ce que le monde ne te dit pas
Écoute moi je sais pourquoi
Ce soir je n'bats qu'une fois sur trois
N'oublie pas d'ramener ces bonbons fluos
J'sais plus leur nom ça finissait par O
Ramène aussi les promesses de voyage
Toutes ces photos c'était pas de notre âge
Va chercher dans la fontaine de Trevi
Cette pièce qui dort depuis cette jolie nuit
Trempée de promesses d'amour et d'envie
Va la chercher j'irai plus... j'ai menti...
11. RomeTu pars à Rome pourquoi en somme pourquoi
Tu dis t'es fou, pourquoi j'suis fou, dis moi
Ce rendez-vous il est pas avec moi
Hier encore j'avais le choix du roi
Changement d'décor un autre fait la loi
Je n'ai rien vu rien entendu tu vois
Du coup je tremble, mon coeur ne me ment pas
Même s'il a pu me tromper quelques fois
Lui se souvient très bien que c'est là-bas
Que j'ai pris ta main pour la première fois
Alors mon cœur vient me chanter tout bas
Écoute moi je sais pour toi
Ce que le monde ne te dit pas
Écoute moi je sais pourquoi
Ce soir je n'bats qu'une fois sur trois
Alors que faire lorsque perdu comme moi
On parle tout seul ou aux oiseaux du bois
Il faut chercher une idée digne d'un roi
Rien d'tel qu'un pape pour retrouver la voie
Me voilà sur les terres de la strada
A chercher le chemin qui mène à toi
Pas une adresse juste un resto je crois
Merci seigneur un coup d'pot je te vois
Bien déguisé en serveur trattoria
Rien d'tel qu'une pasta pour retrouver la foi
Et même si j'pense qu'on l'boira pas à trois
Qu'un brunello pour retrouver ma voix
Écoute moi je sais pour toi
Ce que le monde ne te dit pas
Écoute moi je sais pourquoi
Ce soir je n'bats qu'une fois sur trois
N'oublie pas d'ramener ces bonbons fluos
J'sais plus leur nom ça finissait par O
Ramène aussi les promesses de voyage
Toutes ces photos c'était pas de notre âge
Va chercher dans la fontaine de Trevi
Cette pièce qui dort depuis cette jolie nuit
Trempée de promesses d'amour et d'envie
Va la chercher j'irai plus... j'ai menti...
Si mes routes ne m’avaient pas conduit vers toi
Si mes doutes avaient eu raison de moi
Si tes mains ne s’étaient pas posées sur moi
Si mon train était un jour parti sans toi
Je ne peux pas dire quel homme je serais
A moitié moi-même, seulement à moitié
Je n’aurais pas l’amour qui chante sur mes lèvres
Depuis cet hiver où ça n’était qu’un rêve
Si gamin j’avais levé les yeux moins haut
Si ma lettre tu l’avais mise en mille morceaux
Si j’avais suivi mes vingt ans sans te voir
Si tu avais eu peur de nos hasards
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous les types qui rêvent
Et qui passent à côté
Mais le ciel n’aurait pas brillé de la même lumière
Le ciel ne serait qu’un soleil entrouvert
Ce soir-là dans un studio de Manhattan
Tu m’as dit il y a de la place dans les étoiles
Oui j’ai cru que rien ne m’était impossible
Quand j’ai lu cette force dans tes yeux fragiles
Tu m’as donné en route ton histoire tes trésors
Ta robe dégrafée en Caroline du Nord
Tes doutes et ton courage jusque dans nos jours gris
Et tous les petits détails qui font ce que je suis
Aujourd’hui ma vie est un grand chapiteau
Tu as suivi ta route, chacun son numéro
On garde tous les deux notre si beau secret
Cet anneau invisible que j’aime caresser
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour toi qui m’as appris à ne jamais me taire
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J'aurais pleuré les fièvres
Bien sûr j'aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour te dire simplement...
Simplement que je t’aime
12. J’aurais chanté peut-êtreSi mes doutes avaient eu raison de moi
Si tes mains ne s’étaient pas posées sur moi
Si mon train était un jour parti sans toi
Je ne peux pas dire quel homme je serais
A moitié moi-même, seulement à moitié
Je n’aurais pas l’amour qui chante sur mes lèvres
Depuis cet hiver où ça n’était qu’un rêve
Si gamin j’avais levé les yeux moins haut
Si ma lettre tu l’avais mise en mille morceaux
Si j’avais suivi mes vingt ans sans te voir
Si tu avais eu peur de nos hasards
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous les types qui rêvent
Et qui passent à côté
Mais le ciel n’aurait pas brillé de la même lumière
Le ciel ne serait qu’un soleil entrouvert
Ce soir-là dans un studio de Manhattan
Tu m’as dit il y a de la place dans les étoiles
Oui j’ai cru que rien ne m’était impossible
Quand j’ai lu cette force dans tes yeux fragiles
Tu m’as donné en route ton histoire tes trésors
Ta robe dégrafée en Caroline du Nord
Tes doutes et ton courage jusque dans nos jours gris
Et tous les petits détails qui font ce que je suis
Aujourd’hui ma vie est un grand chapiteau
Tu as suivi ta route, chacun son numéro
On garde tous les deux notre si beau secret
Cet anneau invisible que j’aime caresser
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour toi qui m’as appris à ne jamais me taire
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J'aurais pleuré les fièvres
Bien sûr j'aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour te dire simplement...
Simplement que je t’aime
the lights are out.so is my heart.
something is missing, i'm falling a part.
i cant wake up, i cant fall asleep,
her smell in the bed never left the sheets
i tried and tried to pray,but even god is away
she's gone,she's gone
i cant find the strength to move on never knew how hard it is to be alone
she's gone.
she's gone,she's gone,I feel alone in London
all i do is sit here wondering what went wrong
i walk in the streets, i cant concentrate
food is no good, i lost my taste
my friends call me up,take me out
where ever i go i still see her face
i think i'm going insane, when all i hear is her name
she's gone,she's gone
i cant find the strength to move on never knew how hard it is to be alone
she's gone.
she's gone,she's gone, I feel alone in London
all i do is sit here wondering what went wrong
(i carry this burden along never knew how hard it is to be alone
she's gone.
she's gone,she's gone, my days drag on and on
i cant use the time remote, it wont turn on)
she's gone ooh ooh ooh
THEME
i tried and tried to pray,but even god is away
she's gone she's gone
i cant find the strength to move on never knew how hard it is to be alone
she's gone. She’s gone I feel alone in london
all i do is sit here wondering what went wrong,she's gone,she's gone
the lights are out so is my heart.
something is missing, i'm falling a part.
13. She’s gone (version anglaise / acoustique)something is missing, i'm falling a part.
i cant wake up, i cant fall asleep,
her smell in the bed never left the sheets
i tried and tried to pray,but even god is away
she's gone,she's gone
i cant find the strength to move on never knew how hard it is to be alone
she's gone.
she's gone,she's gone,I feel alone in London
all i do is sit here wondering what went wrong
i walk in the streets, i cant concentrate
food is no good, i lost my taste
my friends call me up,take me out
where ever i go i still see her face
i think i'm going insane, when all i hear is her name
she's gone,she's gone
i cant find the strength to move on never knew how hard it is to be alone
she's gone.
she's gone,she's gone, I feel alone in London
all i do is sit here wondering what went wrong
(i carry this burden along never knew how hard it is to be alone
she's gone.
she's gone,she's gone, my days drag on and on
i cant use the time remote, it wont turn on)
she's gone ooh ooh ooh
THEME
i tried and tried to pray,but even god is away
she's gone she's gone
i cant find the strength to move on never knew how hard it is to be alone
she's gone. She’s gone I feel alone in london
all i do is sit here wondering what went wrong,she's gone,she's gone
the lights are out so is my heart.
something is missing, i'm falling a part.
Si mes routes ne m’avaient pas conduit vers toi
Si mes doutes avaient eu raison de moi
Si tes mains ne s’étaient pas posées sur moi
Si mon train était un jour parti sans toi
Je ne peux pas dire quel homme je serais
A moitié moi-même, seulement à moitié
Je n’aurais pas l’amour qui chante sur mes lèvres
Depuis cet hiver où ça n’était qu’un rêve
Si gamin j’avais levé les yeux moins haut
Si ma lettre tu l’avais mise en mille morceaux
Si j’avais suivi mes vingt ans sans te voir
Si tu avais eu peur de nos hasards
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous les types qui rêvent
Et qui passent à côté
Mais le ciel n’aurait pas brillé de la même lumière
Le ciel ne serait qu’un soleil entrouvert
Ce soir-là dans un studio de Manhattan
Tu m’as dit il y a de la place dans les étoiles
Oui j’ai cru que rien ne m’était impossible
Quand j’ai lu cette force dans tes yeux fragiles
Tu m’as donné en route ton histoire tes trésors
Ta robe dégrafée en Caroline du Nord
Tes doutes et ton courage jusque dans nos jours gris
Et tous les petits détails qui font ce que je suis
Aujourd’hui ma vie est un grand chapiteau
Tu as suivi ta route, chacun son numéro
On garde tous les deux notre si beau secret
Cet anneau invisible que j’aime caresser
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour toi qui m’as appris à ne jamais me taire
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J'aurais pleuré les fièvres
Bien sûr j'aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour te dire simplement...
Simplement que je t’aime
14. A mon ami alfred T. (Alfred de Musset mai 1832 / Patrick Bruel)Si mes doutes avaient eu raison de moi
Si tes mains ne s’étaient pas posées sur moi
Si mon train était un jour parti sans toi
Je ne peux pas dire quel homme je serais
A moitié moi-même, seulement à moitié
Je n’aurais pas l’amour qui chante sur mes lèvres
Depuis cet hiver où ça n’était qu’un rêve
Si gamin j’avais levé les yeux moins haut
Si ma lettre tu l’avais mise en mille morceaux
Si j’avais suivi mes vingt ans sans te voir
Si tu avais eu peur de nos hasards
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous les types qui rêvent
Et qui passent à côté
Mais le ciel n’aurait pas brillé de la même lumière
Le ciel ne serait qu’un soleil entrouvert
Ce soir-là dans un studio de Manhattan
Tu m’as dit il y a de la place dans les étoiles
Oui j’ai cru que rien ne m’était impossible
Quand j’ai lu cette force dans tes yeux fragiles
Tu m’as donné en route ton histoire tes trésors
Ta robe dégrafée en Caroline du Nord
Tes doutes et ton courage jusque dans nos jours gris
Et tous les petits détails qui font ce que je suis
Aujourd’hui ma vie est un grand chapiteau
Tu as suivi ta route, chacun son numéro
On garde tous les deux notre si beau secret
Cet anneau invisible que j’aime caresser
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J’aurais pleuré des fièvres
Bien sûr j’aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour toi qui m’as appris à ne jamais me taire
J’aurais chanté peut-être
Bien sûr j’aurais chanté
J’aurais aimé peut-être
Et l’on m’aurait aimé
J'aurais pleuré les fièvres
Bien sûr j'aurais pleuré
Comme tous ces types qui rêvent
Et qui passent à côté
Et je chante aujourd’hui tout au bout de la terre
Pour te dire simplement...
Simplement que je t’aime
